Immigration

Main-d’œuvre qualifiée en provenance d’États-tiers: l’Union patronale suisse demande le maintien de quotas constants

L’économie suisse a besoin de spécialistes qui ne sont disponibles ni dans le pays, ni dans l’espace de l’UE/AELE. Ceux-ci sont indispensables à la place économique nationale. L’Union patronale suisse demande par conséquent au Conseil fédéral de maintenir le niveau des contingents de 2024 en 2025. Suite

Nouvelle attaque contre les accords bilatéraux

4 août 2023 Opinions
Par Simon Wey

Les milieux critiques à l’égard de l’immigration exploitent à nouveau le thème de la migration et tentent de mobiliser la population contre l’accord sur la libre circulation des personnes et une Suisse ouverte. Pourtant, l’ouverture est un facteur de réussite important et contribue de manière déterminante à la grande prospérité de la Suisse. Les besoins en main-d’œuvre de l’économie suisse sont tout simplement trop importants pour être couverts uniquement par des travailleurs locaux. En outre, les efforts de mise en œuvre de mesures visant à une meilleure exploitation des ressources en Suisse sont au point mort, notamment parce que les mêmes milieux critiques à l’égard de l’immigration s’y opposent très souvent. Suite

Augmenter et assouplir les contingents pour une économie forte

14 juillet 2023 Procédures de consultation

Face à la pénurie actuelle de main-d'œuvre qualifiée et à la perspective d’une économie encore plus tributaire de l’immigration à l’avenir, l’Union patronale suisse demande une augmentation des contingents en provenance des États tiers pour 2024. Les employeurs demandent aussi un assouplissement ciblé et axé sur le marché du travail de la pratique d’admission en faveur de niveaux de qualification moins élevés. Suite

L’immigration européenne toujours indispensable à l’économie suisse

4 juillet 2023 Nouvelles

Depuis l’entrée en vigueur de la libre circulation des personnes, le PIB par habitant a augmenté de près de vingt pour cent en Suisse. Pour pouvoir maintenir l’attractivité du site et ce niveau de prospérité, notre pays ne peut pas se passer de recruter dans les États de l’UE et de l’AELE. Telle est aussi la conclusion du 19e rapport de l’observatoire publié par le Seco. Suite