Dans un monde du travail dynamique, un système de formation professionnelle souple et perméable a son importance. La validation des acquis répond à ces exigences. Elle réduit aussi la durée de la formation et augmente l’efficacité de l’obtention de ces diplômes. Différents efforts sont menés dans l’industrie des machines, des équipements électriques et des métaux pour introduire des programmes de validation.
Le monde du travail est en pleine évolution. Un système de formation assurant la souplesse professionnelle et le décloisonnement des différentes offres de formation s’impose. La validation des connaissances obtenues répond à ce besoin. La procédure de qualification permet aux professionnels de faire valoir leurs compétences acquises de manière informelle, par exemple par un apprentissage sur le lieu de travail. Un tel système offre de belles opportunités tant à l’économie qu’aux professionnels. Les compétences acquises dans ces cours réduisent la durée de formation et en accroissent l’efficacité.
L’industrie des machines, des équipements électriques et des métaux fournit différents efforts pour mettre en application ces programmes. Pour la profession de mécanicien/ne de production CFC, un essai pilote élargi sera lancé cette année dans les cantons du Valais, de Vaud et de Genève. Le canton de Berne va offrir de valider cette profession dès le début 2014 et mettre les bases qu’il a développées à la disposition des autres cantons alémaniques. La procédure est déjà en vigueur dans la région jurassienne des cantons de Berne, du Jura et de Neuchâtel.
Une fois l’essai pilote élargi achevé, la procédure de validation sera étendue à d’autres professions techniques de la branche MEM si les milieux économiques en expriment le besoin.
