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Du point de vue des employeurs, il n’y a pas d’autre issue que de fixer le taux d’intérêt minimal LPP à 0,5% pour 2018. Et ce en raison d’un contexte toujours difficile marqué par un franc fort, des taux d’intérêt bas dans le monde entier et par d’autres facteurs déterminants pour les institutions de prévoyance.
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Il est vrai que les perspectives conjoncturelles se sont améliorées ces derniers temps. Mais il est trop tôt pour en faire une base de discussion dans les négociations salariales portant sur l’année à venir. Ces négociations, qui débutent en automne, devront tenir compte de l’évolution de la productivité des branches et entreprises et du besoin de rattrapage des investissements qui ont été différés suite au choc du franc fort.
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Le vaudois Jean-Marc Probst, l’un des patrons romands les plus en vue en Suisse alémanique et – entre d’autres mandats – vice-président de l’Union Patronale Suisse, ne croit pas à la possibilité d’une réindustrialisation du pays. L’économie suisse doit miser avant tout sur des produits et des services à haute valeur ajoutée. Cette spécialisation permettra de surmonter le défi du franc fort, affirme celui qui dirige l’entreprise familiale Probst Maweg, spécialiste des machines de chantier.
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Pour 2017, le Conseil fédéral a fixé à 1 pour-cent le taux minimal de la LPP. Il suit ainsi la recommandation de la majorité de la Commission fédérale de la prévoyance professionnelle. Cette décision surprend les employeurs, car la conjoncture économique plaide pour un taux d’intérêt inférieur, à 0,75%.
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