Les pertes de travail dues à des fluctuations de cours de change sont prise en considération avec effet immédiat afin de justifier l’octroi d’indemnités de chômage partiel. Les entreprises connaissant des difficultés en raison du franc fort disposent ainsi d’un moyen supplémentaire pour préserver leurs postes de travail. Cet instrument avait déjà fait ses preuves lors de la crise financière de 2008.
L’Union patronale suisse se félicite de la réaction du Conseiller fédéral Schneider-Ammann. L’indemnisation du chômage partiel constitue en effet un moyen très efficace de prévenir les licenciements prématurés, pour le plus grand avantage des employés concernés et de leurs entreprises.
Informations supplémentaires sont disponibles sur le site web du Seco.